Il semblerait...

Ce n’est pas tant que tu projettes à l’extérieur ce qui serait à l’intérieur de toi… Ce serait plutôt que ce qui apparaît en tant que pensées, émotions, ressentis… semblent faire un « toi ».

Es-tu réellement quelque part ? En dehors ? En dedans ?… Ou es-tu les deux apparents…

Au fond, tout ne « commence »-t-il pas et tout ne « finit »-il pas avec une seule question, fondamentale, d’où découlent toutes les autres ?

Entre ce commencement et cette fin, des expériences de toutes sortes, des explorations infinies, en conscience ou non.

Et puis, de mille et une façons, on ne sait d’où, on ne sait pourquoi, on ne sait comment, « ….. » se révèle un beau matin.

Et peu à peu tout devient différent, depuis cette « brèche », cette ouverture de chaque instant, où TOUT apparaît, où TOUT disparait, où TOUT est possible.

Et les pétales de la fleur tombent, un à un, en toute discrétion, la dépouillant toujours plus.

Et tout est pareil… Tu sembles toujours limité, « conditionné » dans une apparence, « ton apparence », comment pourrait-elle saisir, comprendre, vivre l’illimité ?

Il semblerait…